et depuis la Gare de Dijon
pour chercher soi-même, en entrant votre point de départ;
et depuis la Gare de Dijon
pour chercher soi-même, en entrant votre point de départ;
aller - retour à la source des Chênaux
passage par la côte de Gilbert et la source de la Seulée
Larges chemins et combes ensoleillées pour ce circuit dans le parc de la Combe à la Serpent
"365 ha de verdure, de combes, de sentiers entre-coupés de cadoles reconstruites, d'un rucher unique en France, qui en font un lieu très prisé des Dijonnais...
Ce nom de Combe à la Serpent viendrait d'une légende qui prétend qu'une vouivre ou femme serpent hantait le creux des roches.
Difficile de savoir si le lieu du mémorial des aviateurs est sur la commune de Dijon, ou de Corcelles-les-Monts, car bien plus proche de cette dernière, quoiqu'il en soit les terrains ont été acquis par la ville de Dijon en 1970.
Non loin de ce qui est aujourd'hui une piste équestre,
côté parking de Plombières se trouve un mémorial très discret, en
bordure d'un chemin de randonnée en forte pente, et il est indiqué sur
une plaque de bois :
"En ce lieu au mois d'août 1930 quatre aviateurs
du 22e régiment d'aviation de Chartres ont trouvé la mort, leur
appareil "un super Goliath" s'est écrasé à la suite d'ennui mécanique".
Le lieu est matérialisé par des barrières en bois, une croix elle aussi en bois et quelques-uns des restes de l'appareil." in petit-patrimoine.com
Descente au lavoir et fontaine des Essarts, en contrebas de Curtil-St-Seine avec son abreuvoir et son rouissoir, pour traiter le chanvre, et la source tufeuse (un sentier pédagogique y accède)
Le dim 4 octobre, au départ de Gilly-les-Citeaux, en remontant aux sources de la Vouge
(Photos de Marie-Christine R)
Avec les nouveaux guides Liliane, Odile et Dédé, sous la direction de Janine
Photos de Jocelyne et Janine
Nous avons marché ensemble avec plaisir, en partageant anecdotes, propos plus sérieux et même une paire de chaussures de marche lors de notre séjour en Ardèche !Le rire, et les recettes de Gilles ont agrémenté nos semaines rando, jusqu’à ce que la fatigue lui fasse renoncer à ces moments si conviviaux.Adieu Gilles, ton ombre aura toujours sa place aux côtés de Jacqueline lors de nos sorties communes sur les sentiers bourguignons !
24 juillet 2020Jocelyne & Jean-Paul Macé
de l’île d’Oléron
où l’expérience de la visite des parcs à huîtres ( rando en mai 2015 ) a été un moment éprouvant mais récompensé par une sympathique dégustation !
combien de km avons-nous partagés avec “Lève-toi et marche” sur les sentiers bourguignons et plus lointains ...Trottinant toujours en tête, tes petites sur-chaussettes rouges semblaient te donner des ailes.Chapeau et barbe au vent, sac à dos avec siège intégré - un bouquin sans doute enfoui pas loin.
Quel luxe...Ta voix de stentor nous manque déjà, tes remarques parfois acerbes également ...Tu m’as appris à cuisiner la ratatouille dans le Morvan, avec force détails et dans un ordre immuable avec dosage épicé précis que j’essaie de respecter.
Je sens encore sous mon palais comme sans doute bien des nôtres avec qui nous avons partagé ces bons moments, tes pommes de terre aux harengs fumés, tes soupes de moules, ton curry d’agneau.Combien de fois auras –tu été notre trésorier attitré lors de ces partages conviviaux ?Merci Gilles pour ce que tu nous as transmis; ton rire agitant tes épaules ne nous quittera pas ; tu continueras à nous accompagner ...Très émus, nous t’embrassons, mais de loin ...
Mais parlons plutôt de toi. J’ai fait ta connaissance sur un sentier, bien sûr. Ils sont nombreux ceux que nous avons suivis ensemble, avec toi, Jacqueline et bien d’autres du groupe : ceux du proche Dijonnais, Val Suzon, Lantenay, Plombières…, les sentiers Théodore Monod, Lamartine où nous avions eu si chaud, ceux de l’Aubrac, du Pays de Galles, de Bretagne, jusqu’au dernier séjour, dans le Lubéron… Et toujours tu marchais devant, allure mille fois reconnaissable avec ton chapeau et tes bâtons, le pas rapide et sûr. C’est la première image que j’ai de toi. J’aimais beaucoup te prendre en photo, je te disais que tu étais très photogénique, cela te faisait rire et tu te laissais gentiment photographier. J’en ai de très belles de Jacqueline et toi, ma préférée a été prise au vieux Saint -Pierre.Quand tes forces ont commencé à décliner, te forçant à raccourcir les marches, tu nous attendais dans un sous-bois, une prairie, au gîte, mais toujours un livre à la main, et c’est la deuxième image qui s’impose de toi. C’est aussi toujours ainsi que je te voyais quand il m’arrivait de vous rendre visite. La troisième, c’est toi à la cuisine, mettant tes talents culinaires à notre service, la ratatouille que tu nous préparais quand tu ne nous accompagnais pas reste dans les mémoires. Et puis bien sûr, toi faisant les comptes à la fin de chaque séjour : nous te laissions volontiers cette tâche ingrate dont tu t’acquittais avec bonne grâce et une redoutable efficacité.Nous sommes devenus grands-parents la même année, éprouvant les mêmes émotions, ce qui nous a encore rapprochés. Et cela a été d’autres moments partagés avec nos petits-enfants, au musée, dans les parcs, au Leuzeu même.Je me souviens qu’un jour, tu m’as dit, l’air un peu moqueur, que Jacqueline était un peu ma « maman », tu avais bien remarqué mon admiration pour elle, mon besoin de m’en référer souvent à elle. Il est sûr que mon affection pour vous deux approche celle que l’on porte à ses parents, bien que la différence d’âge ne soit pas si grande.Sois sûr, Gilles, que ta voix, ton sourire, ton rire franc, tous les moments partagés avec toi nous accompagneront tant que nous pourrons encore marcher.